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l’Association des Contribuables du Nord de l'Ile de Ré
Notre association a été créée en novembre 1992 et regroupe soixante-dix résidents permanents ou secondaires environ.
Pendant plus de 15 ans elle a été animée par deux de ses fondateurs, Alain LE GRELLE et Jacques MADEUF. Ce sont eux qui ont pris les premiers contacts avec les élus et l’administration fiscale et réalisé les études comparatives qui nous servent encore aujourd’hui de références pour suivre l’évolution des finances locales.
Au mois d'août 2015 l'association a décidé d'élargir son action aux cinq communes du nord de l'Ile de Ré : Ars-en-Ré, La Couarde-sur-Mer, Loix, Les Portes-en-Ré et Saint-Clément-des-Baleines.
L’un des objectifs de l’association est d’informer, et même au besoin de sensibiliser, la population aux problèmes financiers des communes du Nord de l'Ile de Ré et de la Communauté de Communes de l’Ile de Ré. Cette information se fait par la diffusion, sur le site Internet de l'association, d'études générales, appelées "Radioscopies", consacrées aux finances de ces collectivités locales ainsi que d'études particulières consacrées à des sujets précis (réforme de la Taxe d'Habitation, Taxe GEMAPI...). L’association peut également diffuser, à toute personne lui en faisant la demande, une copie des documents financiers votés par les élus : Budgets Primitifs et Comptes Administratifs.
Dans la mesure du possible, un représentant de l’association assiste aux réunions des Conseils Municipaux et du Conseil Communautaire. Il participe également aux travaux de la Commission des Finances dans les communes où elle en existe.
Au cours des 30 dernières années l’association est intervenue pour défendre les intérêts des contribuables des cinq communes de l'ancien Canton Nord et plus généralement de tous les contribuables rétais.
Actuellement l’association se trouve confrontée à un double problème :
- maintien de relations positives avec les élus, les collectivités et les administrations,
- renouvellement des générations car les acquéreurs des années 1960 à 1990 ont des héritiers qui ne partagent pas toujours les préoccupations de leurs ainés.